Je regarde le miroir de ma terre sans sol
Au courage des cris qui angoisse les solitudes aux temps sans souvenir, où les soldats aux masques des gaz qui Cam l’air de mon futur
Clones des anticorps deviendront les micro-ondes aux cancers du temps et l'Homme sens être aux souliers des routes sans froideur meurt le fruit sans racine, aux G9 des lois sans peuple et bombes des politiques deviennent des lois aux élus sans binaire
Lueurs des étoiles, les vœux des cieux ne seront que des satellites
Au clic d’un doigt meurt l’être vers sans air à l’écho de son âme
Or de l’eau deviendra la bouche aux lèvres de la survie humaine
Pleurs les mères de ma mer, nu au Tunima de la nature
Heures des malheurs, du je à la richesse de ton toi
Vagues les os de mon cœur, vers la liberté des vents
Fleurs aux parfums des mes rêves qui tiges l’hume de la vie
Nu de ton corps, je me sens un humain de ta main
Aux douceurs de deux êtres, à l’amitié de ta balle sans haine
Marque la crête de ton tatoo à la chair de mon amitié
Aux douleurs, aux couleurs de ta peau sent mon partage
Sans religion, aux bergers, sans trace de la paix du cœur
Marie sans croix, Dieu en fera son chemin aux écrits des livres
Pages sans écrit, aux mots des guerres, le sang qui brûle l’homme
Aux échos du senti, l’arme du bonheur sans jugement
Prête-moi ta plume que je grave ton nom aux désirs de mes nuits