Naissance, à l’ADN, au foetus de la vie
Naissance, à l’oxygène de mon plasma,
Deviendra le nombril de mon chemin
Naissance, au tremblement de tes eaux deviendra la peau de ma chair
Naissance, aux frissons de tes vies, la mort en sera mon ombre
Naissance, aux cœurs de tes verbes, j’en serai ta composition
Naissance, sans chemin au hasard de tes cris
Naissance, au regard de tes visions, j’en serai dans plusieurs directions
Naissance, je ne suis pas Dieu de ton chemin
Mais je suis l’humain de mes mains
Naissance, aux larmes de mes solitudes, je deviens des rires de ta vie
Naissance, de tes politiques, je voudrais que tu sois les musiques sans mensonge
Naissance, de la nature, je suis une bête de la forêt de ton être
Naissance, de ton senti ou la paix en devient les guerres de galaxies, prête moi une étoile que mon vœu devient une paix de pain
Sans couleur au respect de l’humain, sans regret aux pixels de ton clic, je deviens une machine et un Nanos à mon doigt qui sera le souvenir de toi
Vies deviennent des robots au tic des temps de naissance, prêtes moi une senteur d’être humain, pour que le parfum ne soit pas un souvenir des guerres
Mais bio au respect du masque qui me fera sentir ta nature
À la nourriture de ton être, tu en es devenu les pilules de mon DNA, où le temps des temps si acide à la misère que la noirceur en est devenue grise
Sans onde à la blancheur de tes nuits, sans territoire aux désirs car je suis les vœux de ton corps
Où le temps ce Christ devenu le jugement de fantômes aux écrits de l’homme
Où le temps du jugement en devient les condos au luxe des églises
Où le temps des corbeaux devient le pôle nord à la mort des Iceberg
Où temps des fleurs perd leurs racines et leurs senteurs
Prête moi la naissance que je sente l’envie de la vie au seul vœu d’une étoile, je voudrais la paix, pour un être humain avant que la mort enlève les mots de mon cœur.