Sans le vouloir, il n’y a pas d’évolution et là, je reste néant au sol de la vie
À force de foncer, tu y vois des désirs, car ce qui compte c’est le respect de la passion des rêves, où la douceur du cœur fait naître le courage de ta fleur et fonce aux vents des tempêtes pour y sentir la liberté de ton être
Aux parfums de tes nuits, deviennent des vœux aux étoiles de ton ciel, comme un arbre aux saisons de ses feuilles prend la racine de ton tempset entre les branches, tu y verras des mains pour y bâtir ton lendemain
Deviens humain au soleil de ta terre pour y sentir le grain de ton blé et partages le jardin de ton senti et tu y verras toujours une forêt pour survivre
Au sang qui étouffe les rêves aux maux des cris sans écho, où les souvenirs des brumes qui angoissent la noirceur des chemins
Assis à la roche sans ombre, au phare de ma mer, je deviens une vague aux sirènes de la noirceur
Comme un pêcheur, je navigue pour y voir un arc-en-ciel à mon horizon et sans froideur danse sous la pluie de la liberté
Au frisson de mon corps rame le bateau de mon pèreet sens l’air à son visage souffle son être
Au ciel de ma mère naisse les courages à la paix des rages
Sens le doigt qui fait signe à la main de ton cœur et deviens un symbole à la fierté de l’humain