Le Cri de mon cœur est si seul à mes souffrances que le mal en devient la guerre de mon temps
Temps des saisons où la richesse des So des hommes en oublie mon être
Être de mon arbre aux fruits de la passion si seul au partage de ma table
Que le repas en devient amer sans vague aux tempêtes de mon bateau
Bateau de mon avoir qui voyage aux saisons sans fleur aux souvenirs de femmes
Femmes de mon désir sans écho à la montagne, que ta richesse devienne l'ombrage de ma lune, aux étoiles de mes vœux
Vœux de mon ombre, je sens la mort venir me parler, comme un ami sans main pour mon lendemain au silence sans souvenir pour apprécié ma vie
Je consume mon temps à ma peau qui vieillit aux maux de mon sang
Sang qui coule à mon jour, seul sans haine, je regarde la lune aux étoiles de ma solitude
Solitude sans richesse que mes mots en or à la poésie en deviennent sans verbe
Eau de ma conjugaison de mon avoir, je voudrais être le blé de ton champ
Chant de ta musique, j’entends les paroles de ta jouissance aux nuits mes sommeils
Je m’endors aux frissons de ton nom sans argent, je regarde le ciel pour en partager un ange
Anges sans corps où un jour je serai la vie de toi à l’amour de ton temps, pour écrire sur ta chair les mots de mes larmes qui coulent aux chutes de ta mer
À la fusion de ton atome, je serai à mon tour une étoile de paix et sans peau à mes os pour ne plus souffrir du mal d’être aimé
Terre si pauvre que ton jardin en devient sans récolte au gaz, sans air à la liberté
Liberté des hommes a l’ignorance de sa jalousie sans envie
Que Mars en deviendra son illusion de son futur aux échos des bombes
Aux armes de la noirceur au moi de mon temps, je ne serai que la poussière de ta galaxie
Sans faim, je voudrais être une nourriture du verbe aimé