Temps du temps où l’homme est l’animal de sa planète et devient criant des guerres, où la paix de femmes devient sans fleur à sa paix aux vents de ses saisons
Eau du don de son amour reste sans verbe aux vagues de sa mer
Seul aux milliards d’humains, la solitude devient les ombres sans richesse à sa terre
Née d’amour aux larmes que seul l’enfant en devient une liberté de joies
Mains au nu de ma peau, aux désirs d’être aimé sans rage aux fruits de ses champs
À la forêt de son arbre en perd la Racine de sa culture à la chair de son ignorance
Aux lunes aux étoiles des vœux qui frissonnent les nuits des riches
Je voudrais être le soleil de l’amour pour réchauffer le cœur d’une vie
À l’état de ma pauvreté j’entends le ruisseau qui coule sur les veines de mon sang et mon anticorps ne comprend plus ses saisons, car ma racine à été brisé sur des jugements d'égoisme.
Sans mal au bien, je voudrais écrire la poésie entre les saints de mon âme, où la jouissance s’entrelace entre deux êtres, pour y former l’écho sans fin du verbe aimer
Je crie sans écrit qui en devient les sourds à mon gouvernement au pain de ma faim
Sans famille, je voudrais y sentir un cœur pour juste pourt me sentir plus humain et sur la route de mon hasard, prête-moi la destinée vers le senti d'un corps libre, car j'ai besoin de guérison sur le regard de mon moirroir.