Fleurs des champs aux eaux des dauphins qui vaguent aux parfums des formes
Deviennent l’histoire du vent au temps de la question? Sans réponse à l’ignorance, deviens l’atome à l’apprenti de sa terre!
Sans racine d’être, en sera un air des cultures au futur sans poussière et l'eau de l’ADN sciences aux foetus des clonages en sera les cancers
Aux gênes de la vie sans étoile à leurs cieux et aux rêves du désir en sera les mariages des clones aux prêtres du futur
Pauvres en seront que les souvenirs aux oublis de leurs guerres et riches sans cœur à leurs diamants en sera le futur à leurs communications du temps
Sans faim au crin du ventre du pauvre, des pauvres en resteront riches à leur cœur et aux pleurs des retrouvailles, les photos n’en deviendront que le pixel aux choix des sentiments
Chemins des pères ne seront plus la terre de bio, et les pilules gèleront les souffrances sur un monde inconnu, diriger par le pouvoir de l'Égo.
Vins des partages en sera bleus aux verse des cents couleurs et aux choix de ton doigt montre moi le Nord de ta lune, pour voir la direction du futur et au Sud de ma mémoire je deviens un temporel suspendu, sur l' illusion de l’amour , car l'histoire de l'Ouest je l'ai vécu et figé par le temps des souvenirs de l'Est, je cherche ma bousolle pour comprendre le chemin de ma foi.
Cents femmes en deviendront les chefs à la galaxie de sa reine et dans un ciel la naissance du Christ au Dieu des Saints seront la douceur des rêves, sur des couleurs, en attente de création suspendu par le temps de sa réflexion.
Couleurs aux trous des gaz, meurt l’ours polaire de mon histoire et sans rêves aux crins des hommes couleront aux Viennes de l’or noir et avec les valeurs du temps, je serais apprécié la richesse de vivre.
Aux eaux rares en sera les cents levés, où le soleil de leurs paysages meurt le cœur des souvenirs et temps à la richesse des mains sans guerre,s aux livres de mes héros sans arme pleure sur les pages de mon histoire et aux saisons du futur en deviendra musiques au sourd de Mozart
Picasso, le peintre des clowns à l’avoir des banques en sera les cultures à l’argent au sens amer
Cire du train au bois du Dalaï-lama restera aux oiseaux les cris aux nids de leur savoir et entre l’arme de la guerre dépose ta fleur, sur la balle du silence
Si verbe de respect pourrais être libre de la paix, je voudrais être sa terre à la richesse de sa culture, ainsi j’ai toujours une fleur pour offrir à la saison de mon cœur