Aux vents de l’écho seul à mon âme, frisonne mes mains aux chemins de mes rides, qui brûle l’idem de mon corps
À la vieillesse de ma solution, aux cieux des éclairs tonnent l’esprit des Dieux
Sens larme le senti d’être humain
Eaux souvenirs de ma racine sans mère, aux vagues de mes confidences
Les os de mes pères en sont devenus des roches
Pleure au dos des dauphins, mes souvenirs de ma rive
Qui résonne sans raison au bas fond de mon océan
Sans racine, la terre de mon sol aux grains de mon sable
Au pas du destin sans heure tourne le temps de ma solitude
Pluies en deviennent les saisons, de l’eau, les gouttes de mon sol
Aux échos de mon seuil sans boussole à l’horizon de la montagne
Sans nord à la fleur de beauté de la rose fane le parfum à ma tige
Sans eau de vie meurt l’air de mon cœur, Et pourtant, j’y sentais le boum de l’amour
Une racine qui demandait juste d’être aimée
Sans valeur à ton parfum
Juste au respect du senti de ton nez, j’aurais voulu être le désir de tes lèvres