Gris des cartes, sans jeux à ma table, je perds l’horizon de Las Vegas, sans partenaire aux jetons de ma richesse
L’arme des cris, sans écho où meurt le temps de mon cœur, sans montre à son heure
Corps aux plis des lits, plisses-moi l'amour aux rêves de ta mort
Sans main dans ma paume qui épanouit mes doigts aux sentis qui en perdent la chair de ta peau
Déracines-moi, que je sente ton air à ma terre comme une fleur des les champs de ta récolte
Je vieillis au regard de mon miroir, sans ombre à mon passé dans l'acception de mon enveloppe corporelle
Solitudes des rides qui deviennent les visions des eaux, aux reflets des rives, seul au rocher de mon amour
Pluies des saisons mouillent mon âme que je danse sur tes saisons
Coules en moi, que je sente les gouttes s’entrelacées sur l’esprit de tes désirs
Vœux des sans tores au ciel de mon soleil, sèmes-moi la chaleur de ta route
Nuits des étoiles, devient la lune au nu de ton, je, que la fusion du vous de notre cœur dans le vœu de nos nuits
Aux éclairs de ton corps, je voudrais être le courant de ton circuit, dans la couleur de ton ciel
Jouissance des passions étonne le tonnerre de ton éclair que je sente ta tempête entrelacée sur mon cœur
Doux, je rêve, que je voudrais juste être aimé sans illusion à mon sommeil