Temps aux cœurs des GPS, la mappe de la balle de ma nature
Au s'o de l’humain qui en perd l’eau de ses coordonnées aux tourbillons de son A.D.N.
Forêt au sens des échos sans bûcheron à l’histoire du temps qui embûche les traces de mon cœur
Mains en perdront ses paix aux plastiques de ses puces
Corps des vies humaines, pleurons les visses des robots de ce que nous sommes rendus
Aux doigts des tables en seront les menus des couleurs aux repas d’un instant
Vagues des miroirs, eaux reflets des mémoires qui empruntent le tunnel de l’âme
À l’anneau des Dieux, le sang des peuples aux cris des Terres pour m’avertir de ses colères
À la grippe de son adresse à la toux de son code, le gêne en sera nom, H5N1
Noirceurs sans pudeur, écraseront les os des chairs sans manteau, aux pluies des acides
Au génie des riches, en seront qu’une poignée de grain de sable, pour une terre sans gout d’eau
À la goutte des sueurs, aux masques sans air, en seront or des nuits à leurs atlantiques
Gants des airs, en seront nouveau pays des rêves à l’union des atomes
Tempêtes brûleront les villes, sans gouffre des bios
Nanos de nos photos sans calcul à mon Google, en seront rires partagés au senti du clic dans les pleurs des nus, ne sera que sentiment sans batteries aux pixels
Temps des oublies, aux vidéos du présent nous sommes, sans PC meurt les vignes humaines au vin des ordinateurs pour être que verre sans cristal
Vers des consciences en respectera l’appétit des désirs de la survie, aux vices des hormones
Enfant sans mer, j’attends la bouée de ton cœur
Dans l’Ipotalamus du président, aux couleurs en la matière d’hommes
Jeanne D'Arc, tu es drapeau de mon pays