Ta douceur fait oublier tout les malheurs
Aux sentis de tes lèvres, glisses-moi tes désirs sur ma peau et fait danser la chair de mon corps.
Toi, femme aux fruits de l’arbre, je voudrais être les feuilles de tes saisons pour y partager la racine de ta terre et ainsi si je meurs, une fleur pourra épanouir la graine de mes rêves, dans une étoile qui en porte l’âme de ton cœur.
Sans cri de la violence, coules en moi dans la mer de mes souvenirs.
Aux nus des reflets, les lunes dansent aux corps de l’amour.
Entrelacés sur Mars dans l’Apollon des nuits, au temps des vagues, je reste calme pour me rappeler de la sirène qui coule en moi.
Homme d’animaux que je suis, mais la bête de ma survie, la louve à la meute de ma montagne, les échos en portent encore les marques de ta jouissance aux forêts de mon feu tu en restes la lumière de ma survie.
Aux pleurs de mon cœur, je pars comme un dauphin aux chants du bonheur.
Je tiens mon cœur entre mes mains pour l’épanouir avec de la jouissance au partage de son corps, couché sur ta peau, j’y sentirai la jouissance de ta vie,
au nombril qui en guide les désirs de ses vœux.
Nos doigts en seront les moissons de nos âmes, dans la chaleur du blé, aux vents de notre liberté.
Partages-moi ton cri de la vie à l’amour de ton senti, je t’attends avec les poésies