Ne lâche pas tes désirs, dis toi que tu es femme et que tu es ce qui se fait de plus beau sur cette terre
Sans toi il n’y a pas de vie tout simplement
Alors reprend ton parfum et devient les saisons de tes passions
Oublies-toi jamais! Même seul, tu as ton ombre pour rêver à une fleur
Homme que je suis la température devient aux pluies des maux de mes os, des cris sans rage seul aux échos des montagnes où je glisse le vent sur la peau du soleil de mon espoir
Pour ne pas oublier le frisson de ta chaleur
Au cortex de mon bien en gardera les mémoires de ton âme
J'ai la poésie dans mon cœur à donner, à partager, à sentir
Je ne suis pas mieux qu’ un autre, je suis qu’un humain dans un infini d’étoiles
Et si la lumière veut bien me prêter une main, elle sera la peau de mon cœur
Entrelacé dans les vœux du verbe Aimer, je lui dirais dans ses yeux
Je t’aime encore et encore toi, femme qui me donne le goût d’aimer
Je vis en faisant de mon mieux
Pauvre de mes poche mais franc de ma chair
Je me dis qu’un jour, si je trouverais une femme, je commencerais par lui dire : Merci
Assi à son regard, je voudrais être l’écrit de ses yeux, pour y sentir les couleurs de sa vie dans le rouge sans guerre où tout devient un amour au partage de nos mains, dans un temps qui en sera le respect au cadran de nos coeurs
Aux saisons, des amis aux chemins des amoureux, je grave aux arbres ton nom à la racine de mes nuits
Pour ne pas oublier ton destin aux rires de mes souvenirs
J'ai hâte de te dire le matin que tu es la plus belle
Tu es le désir au déjeuner de ma vie dans la sagesse de la paix
Je ne demande pas de quoi de compliquer
Juste de sentir l'Amour, une fois dans ma vie
Dans les danses des jouissances sans chaine au jugement du bien
Au parfum qui coule sur la fleur de ton corps
Laisses moi partager le vrai de tes crist
Au hum de tes lèvres qui embrasse le corps des désirs, je voudrais y écrire la poésie de ta chair dans le livre de ma vie sans égo au isme de mon rêve