J'ai eu le diable dans ma main bien serrée sur mes artères, sans Cris aux échos des humains.
Car quand j'ai eu assez mal aux mots de mon âme
L'amour est venu comme un vent, qui sait glisser aux rêves de mes pleurs et dans la force de sont verbe, elle s’est épanouie aux senti de mes nuits
De son parfum frissonne le temps de la vie au choix pour apprécier la fleur de sa tige. À ma main qui glisse sur mon cœur pour me rappeler le senti de ton âme. Au respect de ta beauté, femme, tu en es l'art de la création
Je suis l’homme d’animal, à la bête de ton corps et je voudrais juste y faire jouir un instant ton amour pour me souvenir de ton oui, car sans toi, je n’ai pas de fleur à mes rêves
Crois-en l’amour, elle est la passion de ma mer et les vagues de tes vœux ont son désir
Aux ruisseaux de ton lit, laisses-toi te mouiller pour que je sente la peau de ton corps coulé à mes doigts qui s'épanouissent pour toi.
Avec la paume de ma main, laisses-moi t’entrelacer que je sente ton odeur sur ton cœur, pour danser au tango de nos pas
À la route du destin sans hasard, je voudrais y partager la terre au respect de nos cultures et viens te glisser aux saisons de mon pays, à l’arbre de l’écorce, je te partagerai la racine de mon moi.
Je suis qu’un humain d’un temps qui voudrait aimer une femme pour l'aimer dans un temps sans fin
À l’infini des étoiles, tu en seras toujours l’ombre de ma lumière