Pas évident de vivre avec une violence qui hante nos rêves sans réponse à nos nuits.
Photos en deviennent les pleures aux souvenirs de nos rires qui coulent au pixel de l’amitié
Mal aux maux qui brûlent le texte de mon temps aux couchers à mes nuits qui tue la tête de mes sentiments
Esprit en reste le présent dans le passage de l’espoir qui en perd la conjugaison au verbe de mon avoir
Dans l’âme de mon corps, je permets au vent de la vie d’entrer en moi
À la lumière de son passage glisse à mes tripes le parfum du senti qui épanouit la fleur de mon âme
Mains à la chair de la peau, entrelaces toi sur le bien de ton corps, fais-y jouir le senti de ta vie donnes toi une chance à ta paix
Écoutes ton cœur battre pour toi et tu sentiras l’humain à ton jardin
Le cœur est assis sur une étoile au nord de ton toi si tu y crois, tu verras la magie de ta galaxie aux rêves de ta jouissance, aux cieux dans un partage sans rages