Je suis assis dans la chaise de mon temps et aux doigts de mon inconscience, je regarde les médias de mon présent qui influencent les jugements de mon image et dans l’envie, j’efface la communication de ma solitude sur la vérité de mon écoute.
Je vieilli dans un corporel de symboles qui contiennent l'astrologie de ma création et dans la vision de mon ombre, se cachent les pouls de mon cœur qui se fusionnent sur l’espoir de mon être.
Dans les sommeils de mes nuits, je sens couler la profondeur de mes sentiments et sur le dos de ma pensée, je crée l’imaginaire de mes vœux, pour croître sur le désir d’une étoile.
Sur l’oubli du regard de mon miroir, je décompose les souffrances de mes larmes et les reflets transforment l'angle de mes pardons dans une lumière qui éclaire l’intérieur de ma foi.
L’injustice se trouve dans la nature de mon ego et la justice se trouve dans l’horizon de mon équilibre et entre les deux, se trouve l’ombrage de ma culture.
Je suis un itinérant qui vit dans les ruelles des illusions d’un bonheur et je visualise les pierres qui entourent les murs de mon éveil où les esprits enveloppent l’âme de mon histoire sur le sol des tatouages de mon amour et l’art crée le seuil de l’évasion de mes rêves.
Je tremble sur les peurs de ma mémoire car je suis inconnu de la chimie de mon courage et ma confiance est le résultat de l’équation, de l’atome de ma liberté.
L’infini est l’aurore de l’invisible de mes désirs et la lune consume l’oxygène de mes souvenirs.
La fleur de mes frissons perd la réalité de ses saisons et ma tige est fusion à la racine du champ de mon grain, car la semence de ma survie est le clonage à la génétique du miracle de la vie.
Je mets les échos de mes cris dans une vidéo pour graver l’instant de mon verbe aimé.